Aimant (Live au Studio Pigalle) Ferielle

Aimant (Live au Studio Pigalle) - Ferielle
Son Album

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Ferielle - Face à Face Face à Face Ferielle

Note sur le clip

Ferielle
1er EP l'eau qui dort
Disponible chez Finalistes
 La chanteuse Ferielle a sorti son premier EP l'eau qui dort sur le label Finalistes début mai. Après nous avoir régalés avec ses singles Face à Face, JETER UN SORT, et Grand Ecran, Ferielle dévoile Aimant, un nouvel extrait et sa vidéo enregistré en live en piano/voix au Studio Pigalle à Paris. 
Aimant, c'est comme une rivière de piano qui devient fleuve, une vague dans laquelle Ferielle observe son reflet, casse sa voix, accepte la fragilité, toujours au second degré, "si c'est moi, le problème, c'est que j'ai pas de problème".
Avec ce titre, Ferielle débranche les guitares et nous présente une nouvelle facette de son talent. Voilà une ballade magnétique qui met en avant la voix de la chanteuse dans un registre apaisé, accompagnée par Guillaume Gallato au piano.
 
 
 
Autrice, compositrice, interprète, Ferielle tend des pièges à la pop et se revendique tout autant des Wombats, The Hives ou The Vaccines que de Maggie Rogers ou King Princess. Atypique autodidacte, elle imite les grandes voix du pop rock dans sa chambre de petite fille réservée, raconte ses journées à son poster géant d’Eminem, danse sur la pop de Madonna et Elton John, tout en apprenant la guitare des Beatles. 
Son premier titre Grand Écran est sorti il y a deux ans, fruit de sa rencontre à Toronto avec les membres du groupe indie-pop Exsonvaldes : Simon Beaudoux et Martin Chourrout, complices de son EP l’eau qui dort. Un journal intime qui tient tout autant de celui de Bridget Jones que de la pensée du poète autrichien Rainer Maria Rilke, et annonce une nouvelle formation en power trio pour la chanteuse sur scène, guitare, basse, batterie, le Nirvana....
Jamais, est-ce une douce chanson d’amour ? On se prépare au coup de genou… Le synthétique punk, Face à Face donne aussi envie de danser en lançant des coups de pied. 
Quant à Jeter un sort, le plus iconoclaste, de ce premier disque, avec sa structure punk-rock, doux couplets sur refrains énervés, il met en scène la voix, un cri qui se transforme en rire, et passe de la mélancolie au machiavélisme.
Dis-moi où on va est véritable zapping d’influences. Le titre est si coloré qu'il s’est posée naturellement sur les images de la série Emily in Paris. 
N’oublions pas, l'irrésistible refrain de Riviera, petite perle de chanson aigre douce, sensuellement agressive portée par un riff efficace de guitare et une production en dentelle. Un premier disque éclectique et électrique, on aurait tort de ne pas se méfier de “l’eau qui dort.”